Nombreux sont les Québécois qui font face à des dépenses imprévues (augmentation des dépenses, épicerie, essence, assurances, etc.) le tout combiné à un nouveau confinement.

Quelles sont les options lorsque notre crédit est en mauvaise posture et que les banques refusent catégoriquement un financement temporaire, qui servirait à donner un petit coup de main ? La carte de crédit n’est certes pas la solution.

Le crédit alternatif qui gagne peu à peu en popularité peut prendre plusieurs formes : un don, un prêt d’un ami, d’un parent, une carte prépayée, un microprêt, un prêt privé avec certaines garanties sur des équipements ou sur l’équité disponible de votre résidence, etc. Bref, il y a à plusieurs avenue et une combinaison de ceux-ci pourrait être la clef temporairement à un retour bancaire éventuel. Une solution temporaire qui peut aider à donner de l’air à votre cote de crédit, car celui est octroyé sans enquête de crédit et fait baisser votre ratio global d’endettement. Celui-ci doit se trouver sous les 40% pour que votre cote de crédit ne perde pas trop de plumes. Bien sûr un emploi stable et peu de retard sans vos paiements aident aussi à se qualifier à des taux plus bas qu’au privé.

Alors, remplacer une dette qui affecte votre cote à la baisse avec une qui ne l’affectera pas risque de faire une différence marquée et donner un peu de lousse à l’élastique

Bien à vous.
L’équipe PRÊTC $Microcrédit.